Commission des sciences
Les progrès de la médecine conduisent à préserver une certaine forme de vie après des lésions cérébrales graves, mais cette « vie a minima » vaut-elle d’être vécue ?
Cette question peut conduire à des drames familiaux dont la presse se fait l’écho, faute de savoir évaluer avec précision le niveau de conscience persistant chez des personnes qui ne sont pas en fin de vie. Ni les médecins, ni les juges, ni les politiques au plus haut niveau ne savent définitivement comment répondre. [ Lire la suite ]