François Ier se serait exclamé en arrivant à Dijon : « Quelle belle ville, c’est la ville aux cent clochers ».
A la veille de la Révolution, Dijon compte effectivement plus de quarante édifices religieux : églises, monastères d’hommes et de femmes, hospices divers, établissements d’enseignement.
La majorité d’entre eux sont richement décorés ; de très nombreuses chapelles privées y sont fondées et abritent la sépulture de nobles familles ou de riches bourgeois. Ces derniers n’hésitent pas à passer commande auprès de talentueux artistes de monuments funéraires d’aspect fort varié, véritables chefs-d’œuvre pour certains. [ Lire la suite ]


