Des objets au corps connecté. Une démarche qui doit viser le meilleur en évitant le pire

Certains objets en se connectant grâce au numérique nous offrent de larges possibilités d’amélioration de nos conditions de vie en termes d’information, de communication, de contrôle de l’environnement, de transport, mais aussi en termes de santé.

C’est sur ce point que d’importantes questions éthiques commencent à se poser avec acuité.

Comment nous protéger d’une forme d’espionnage permise par l’extraordinaire évolution technologique qui a logiquement devancé la mise en place des moyens de contrôle et de sauvegarde vis-à-vis des risques de l’internet des objets ?

Comment permettre que notre corps, à son tour connecté, ne soit pas réparé pour le meilleur, mais augmenté pour le pire ?

C’est à ces questions que Jean-Pierre DIDIER Professeur émérite de l’Université de Bourgogne Franche-Comté se propose d’apporter des éléments de réponse lors de son discours de réception comme membre résidant de l’Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon.

 

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